Les neurosciences au travail :
Pour mieux gérer ses émotions !
Pourquoi y recourir ?
Les dirigeants et salariés maîtrisant les soft skills amènent davantage l’organisation à se construire autour d’un projet collectif accepté par tous, capable d’évoluer de manière agile, dans un contexte économique mouvant et incertain aujourd’hui.
Selon l’étude sur les cadres et les soft skills réalisée par l’Ifop pour Lavazza en septembre 2019, les compétences comportementales les plus valorisées en entreprise sont l’adaptabilité et l’autonomie citées à égalité par les moins de 35 ans (85%) tandis que les 50 ans et plus plébiscitent l’intégrité/l’honnêteté (87%) et la courtoisie (86%).
Les cadres évoluant dans des TPE soulignent généralement la forte reconnaissance des soft skills dans la culture de leur entreprise.
Comment faire ?
86% des cadres estiment que les entreprises devraient proposer des formations aux soft skills. Et 92% considèrent qu’il est important d’évaluer leurs softs skills lors des entretiens professionnels des salariés !
Une bonne maîtrise de ces soft skills constitue un marqueur indéniable de réussite socio-professionnelle.
Ceci joue également sur le maintien d’un sentiment de bien-être au travail. Un sentiment qui protège les salariés de pathologies psychiques professionnelles, dont les conséquences sont parfois désastreuses pour eux-mêmes ainsi que pour l’entreprise.
Toutes les soft skills sont donc utiles au développement personnel et professionnel de l’individu, et l’une d’entre elles s’avère aujourd’hui particulièrement incontournable : l’intelligence émotionnelle !
Quels impacts sur les organisations ?
Pour 9 cadres sur 10 (91%), les soft skills contribuent à la compétitivité des entreprises.
84% estiment qu’une entreprise valorisant les soft skills influencerait dans la décision de la rejoindre.
Les salariés n’ont effectivement d’autre choix, que de se former pour s’adapter et développer de nouvelles ressources, s’ils veulent pouvoir s’épanouir durablement dans un monde du travail en perpétuel changement.
La gestion des émotions érigée au rang d’intelligence émotionnelle connaît ainsi son zénith, et cela change la donne car il est possible aujourd’hui de progresser en apprenant à reconnaître, à comprendre, à maîtriser ses propres émotions, et à s’adapter aux émotions des autres. Une nouvelle vie professionnelle s’ouvre, dans la pleine conscience de soi et des autres salariés. Un prérequis nécessaire pour un développement optimal de tous, au travail.
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